Les dix pires équipes NBA de 2018
Sans surprise, le Français est le pire contrat des Knicks. Gagnant le deuxième salaire le plus élevé à New York derrière Enes Kanter, Noah n’a disputé que 82 matchs au cours des trois dernières saisons. L’an dernier, il n’a joué que 40 minutes (7 matchs) sur le terrain. Victime de nombreuses blessures, notamment d’une blessure au genou, l’ancien gardien de l’année doit encore gagner 37,8 millions de dollars sur les deux prochaines saisons. La possibilité que l’ancien joueur des Bulls soit coupé avant le début de la saison ou à la date limite des échanges est un véritable fardeau pour les finances de la Big Apple.
– Elgin Baylor : Baylor a toujours la quatrième meilleure moyenne de score de l’histoire de la NBA (27,36 points par match). Malchanceux pour toujours, il irait à la finale de la NBA 8 fois et ne gagnerait jamais. Cependant, Elgin Baylor est toujours l’un des meilleurs joueurs de l’histoire de la NBA.
Les Pacers sont l’une des meilleures équipes de gestion des salaires. Sept des neuf joueurs les mieux payés de l’équipe seront agents libres l’année prochaine. Donc, pour l’instant, Doug McDermott semble être le « pire » contrat, lui rapportant 22 millions de dollars sur 3 ans. L’ancienne star du collège, à Creighton, devrait apporter ses talents de tireur à une équipe qui en a bien besoin (25e en 3 points réalisé l’an dernier). De plus, s’il ne peut pas jouer aux côtés de Victor Oladipo, les Pacers ne devraient pas avoir trop de mal à l’échanger.
Les meilleurs gagnants du jeu nba de 2018
Après vos excellents retours sur la première édition, les Parlons Basket NBA Awards sont de retour pour honorer l’Acteur de l’Année 2018. Quelques changements au programme : Cette fois le sondage a été réalisé sur notre page Twitter et la sélection par catégorie a été réduite à quatre. De plus, certains critères de sélection ont changé et deux nouvelles rubriques ont fait leur apparition. Il y a d’abord la catégorie « Événement de l’année », puis la catégorie « Réalisation de l’année », cette fois divisée en catégories individuelles et collectives. Après une participation très active, c’est le moment de découvrir les résultats de vos nombreux votes !
Avant de commencer à parler de la saison à venir, un peu de la saison dernière. Il s’est passé beaucoup de choses dans les pronostics NBA de l’année dernière. Beaucoup se souviendront de la nuit du 2 décembre 2021. Lors d’une soirée qui ne ressemblait à aucune autre, Memphis a obtenu un gros coup sûr contre OKC (perdant le meilleur joueur contre SGA). C’est cette fessée légendaire (152-79) qui restera dans l’histoire. Un total de 73 points d’écart. Du jamais vu dans les 75 ans des ligues majeures. De plus, Gregg Popovich a battu le record. Le 4 février 2022, il devient le premier entraîneur à remporter 1 500 matchs professionnels. Le 28 décembre 2021, LeBron est devenu le troisième (et le plus jeune) joueur de l’histoire à atteindre 36 000 points. Plus de 30 000 points, 10 000 rebonds et 10 000 passes décisives dans sa carrière. Il est le seul (et probablement encore pour longtemps) à détenir ce record. Le 14 décembre 2021, Steph Curry a réalisé son 2 974e tir à trois points en NBA. Il est le nouveau recordman de cet exercice, devant un certain Ray Allen.
Stephen Curry est une icône, un monstre et un révolutionnaire. Son jeu spécial a secoué la NBA depuis son ascension au sommet des majors en 2015. Jouer large est une tactique, et grâce à Steph, c’est devenu la norme. Mais cette norme, si peu pour lui, s’est transformée en standard, mettant la merde de côté même dans les équipes qui ont décidé de l’imiter. Un bref récapitulatif de son palmarès à ce jour : trois titres NBA consécutifs (2015, 2017, 2018), cinq apparitions en finale (2015-2019). Nous avons ajouté deux MVP de la saison régulière (2015, 2016) et voté à l’unanimité pour le deuxième, ce qui est du jamais vu dans l’histoire de la ligue. Bien sûr, il détient de nombreux records de tirs à trois points, dont le panier le plus primé de sa carrière depuis cette saison. Bien sûr, ce sont tous des leaders, alors ne plaisantez pas. Nous n’allons pas revenir sur les cinq dernières années de domination insensée du jeu, mais nous avons rarement vu un joueur être aussi dégoûtant … pendant si longtemps. Et si Stephen Curry remporte sa quatrième bague de championnat dans les deux prochaines semaines, l’homme entrera encore dans une nouvelle dimension.
Comment cinq équipes NBA différentes se sont comportées depuis le début de la saison 2018-19
C’est maintenant une nouvelle saison, la 77ème édition de Uncle Sam’s Land. L’année a été caractérisée par une densité de points chauds, rendant l’analyse des prédictions de titre NBA plus nuancée. En fait, la première moitié des années 2010 a vu 70%, avec les Warriors en tête. Dans la deuxième partie, les Lakers de LeBron et les Clippers de Leonard ont été favorisés par les bookmakers. Cela fait 3 ans, surtout avec l’impulsion de Phoenix ou de Memphis, je suis très hésitant. Idem que la saison dernière. Les prédictions de la NBA étaient les Nets ou les Bucks à l’Est contre les Suns ou les Lakers à l’Ouest, et nous nous sommes retrouvés avec un affrontement inattendu entre les Golden State Warriors et les Boston Celtics. Le partenariat de Stephen Curry a remporté son septième championnat de franchise, après 1947, 1956, 1975, 2015, 2017, 2018 et 2022. Les Sounders ont connu un excellent parcours en séries éliminatoires. Le succès contre les Nuggets a toujours été compliqué par le double MVP du premier tour (4-1) Nikola Jokic. Victoire sur les Memphis Grizzlies (4-2) en demi-finale de conférence, Dallas en Conférence Ouest (4-1) pour le championnat, et la victoire finale sur l’équipe la plus titrée de la ligue, la Boston Celtics Team (4-2 ), a mis fin aux projections NBA de la saison dernière.
D’abord, en termes de fidélité. Repêché par les Warriors en 2009, le n°30 ne ressentira jamais le besoin de quitter la Bay Area. Warriors et Curry, c’est une histoire d’amour qu’on ne vit presque plus aujourd’hui. Six finales NBA avec la même équipe suffisent à vous dire qu’il n’y a pas beaucoup de joueurs dans l’histoire qui peuvent créer un tel classique. Bien sûr, toute l’équipe de la dynastie des Celtics dans les années 60 était là, avec Bill Russell en tête du peloton avec 11 titres en 12 apparitions… visant le monstre. À cette époque, il y avait Elgin Baylor (7 finales NBA avec zéro championnat) et Jerry West (9 finales NBA et 1 championnat), mais malheureusement, ils n’ont pas beaucoup gagné ici. Magic Johnson et Kareem Abdul-Jabbar ont disputé respectivement neuf et huit matchs de la finale de la NBA pour les Lakers (KAJ en a disputé 10 au total). Michael Jordan et Scottie Pippen en faisaient également partie, ayant atteint la finale six fois et remporté six championnats NBA dans les années 90. Au cours des dernières années, l’attachement des joueurs aux franchises a été bien plus fort que la ligue que nous connaissons aujourd’hui, surtout si on la compare à la dernière décennie, qui a été marquée par l’autonomisation des joueurs et le départ de nombreuses superstars de leurs franchises. Assez logiquement, on ne retrouve que des grands noms avec six apparitions en Finales NBA dans une équipe dans les légendes Kobe Bryant et Tim Duncan depuis 2000. Mais maintenant, il y a aussi Stephen.
Si la saison démarre bien aujourd’hui et que les joueurs s’échauffent, il est dommage que la NBA respecte son petit « mensonge » annuel consistant à faire croire à tout le monde que quelqu’un est bon ou mauvais. Mais qui a le plus de records de mensonges dans la ligue jusqu’à présent ?
